La Divine Fellation ou la Divinité de la Fellation

Catégories : Rencontres LIBERTINS candaulistes Femmes rondes Plaisir des yeux
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il y a 12 ans

Mes yeux ne pouvaient se détacher de ce qui se passait devant moi. Pourtant, le voyeurisme n’est pas dans mes addictions. J’ai rarement eu recours aux films et autres vidéos telle est primordiale d’être dans le réel actif. Souvent, j’ai détourné mon regard de scènes, pourtant très suggestives pour ne point faire corps avec ses hommes agglutinés autour du premier couple en action, comme une meute de chiens avant la curée. Mes yeux ne pouvaient se détacher de ce qui se passait devant moi.

Je ne savais qui j’aurai aimé être, cette femme agenouillée dont le corps tout entier était dévolu à la queue qu’elle honorait de sa bouche, cet homme dont la tête renversée en arrière exprimait le plaisir absolu, l’extase ou moi-même qui aurai voulu être peintre, cinéaste ou photographe pour immortaliser cette osmose des êtres, écrivain ou philosophe….mais je n’étais que voyeur et mes yeux ne pouvaient se détacher de ce qui se passait devant moi.

Je pensaient à toutes ces femmes qui se refusaient à ce ‘’plaisir’’ où à celles qui ne l’appréciaient pas et les rangeait avec celles qui n’aiment pas le vin, le soleil et peut être ….l’Amour !!,

Mes yeux ne pouvaient se détacher de ce qui se passait devant moi.

Je me pris à sourire….cette ‘’soumise’’ était en train de s’adonner à un acte de domination absolu !!! L’homme était en sa possession, sa langue, sa gorge, ses mains jouaient avec sensualité, délectation mais aussi perversité pour aller jusqu’à la limite de la délivrance et la repousser aux limites qu’elle déciderait !

Elle usaient de ses longs cheveux pour venir, telle une plume suppliciaire , caresser le bas ventre, les bourses gonflées, l’intérieur, si sensible, des cuisses.

Ses lèvres se tendaient vers le sexe, sa main dirigeait le gland vers celles-ci, elle jettait un regard narquois au visage de l’homme qui ne pouvait cacher sa dépendance.

Mes yeux ne pouvait se détacher de ce qui se passait devant moi.

Elle happa ce gland avec gourmandise puis y apporta le pervers raffinement dont seule la femme est capable… elle agaça de la pointe de sa langue bien tendue le petit trou de l’urètre , le frein et tout ce qui pouvait faire frissonner sa proie.

Mes yeux ne pouvaient se détacher de ce qui ce passait devant moi.

Ses lèvres vinrent à nouveau sur ce gland qui ne cessait de gonfler, elle l’engouffra rapidement, relâcha l’emprise de sa main sur le membre et fit doucement rouler ses lèvres sur la hampe. Sa bouche se gonfla par l’importance de cette queue et ne pu réprimer un léger sourire, en dépit de ses yeux clos, en constatant le résultat de ses œuvres.

Mes yeux ne pouvaient se détacher de ce qui se passait devant moi.

Alors, après ces longs moments empreints de sensualité, de gestes savamment calculés, où sa science de salope qu’elle aimait démontrer s’était exercée, elle engouffra cette longue bite turgescente et on devina sa gorge dilatée. En experte elle remonta rapidement, tandis que l’homme ne pu réprimer un cri rauque .

Mes yeux ne pouvaient se détacher de ce qui se passait devant moi.

Elle abandonna tout geste caressant et se mis à s’activer avec gloutonnerie sur cette verge dont elle avait obtenue l’érection désirée. Sa tête allait et venait tout au long de ce sexe devenu sa chose . elle donnait une rotation rapide en montant et descendant, atteignait les burnes et ouvrait les yeux pour voir l’effet de sa dextérité sur cet homme dont tout dépendait d’elle, puis jetait un regard sur ceux qui s’abreuvaient du spectacle et revenait sur l’objet de toutes ses vicieuses attentions.

Mes yeux ne pouvaient se détacher de ce qui se passait devant moi.

L’homme gloussait , à la limite du ridicule et je ne pu m’empêcher de sourire, à nouveau, en pensant à ce Maître qui quelques instants auparavant avait dominer cette femme perverse en l’humiliant comme la chienne qu’elle aimait être.

Sa bouche quitta la verge tendue comme un arc , elle lécha cette longue et épaisse tige en se délectant, mordit les couilles, les lécha, les aspira avec tout son vice femelle, les sachant pleine de ce nectar qu’elle aimait tant. D’une main elle branlait le vi avec rapidité à la limite de la brusquerie, il commençait à lui tarder que le jus sorte que les burnes se vident en elle. Elle avait passée son autre main derrières les parties et fouillait sans ménagement les entrailles de cet hétéro affirmé.

Mes yeux ne pouvaient ce détacher de ce qui se passait devant moi.

Elle recommença là où elle avait débuté, pris la bite jusqu’à sa gorge, l’aspira, la branla de plus en plus rapidement…je pensait au bouquet final d’un feu d’artifice…elle ne se souciait plus de l’homme, seule sa queue et ce qui emplissait ses bourses gonflées l’interessait. C’était Son objet, Sa possession. C’est elle et elle szeule qui avait su en faire cette source de son plaisir ultime. Elle savait, tenant la verge avec force, elle tendit sa bouche comme une femme assoiffée prés d’une source…l’homme eut, à nouveau, un cri rauque et de long jets nacrés jaillirent de son menbre et allèrent abreuver celle qui avait si soif de cette jouissance.

Elle revint , suçant avec application cette queue prolixe, léchant les dernières gouttes du nectar, leva sa tête avec un visage rayonnant, souriant et retrouvant l’humilité de la soumise pour ce Maître qu’elle venait de posséder par ce qui mène le monde : La queue.

Mes yeux ne pouvaient se détacher de ce qui se passait devant moi.

Je revint vers le bar en pensant que cela tenait du Divin et que c’était peut être le Diable qui était Dieu.

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